Poussant à l’extrême l’obsession actuelle d’un lien à réinventer entre l’humain et la nature, cet ensemble illustre une fusion littérale avec les éléments.

La Chambre verte documente la déambulation d’une femme au cœur de la forêt et les transformations d’un corps en cours d’hybridation végétale.

Une mutation lente et délicate, comme le temps long et précis de la gravure, vivifiée par le trait libre et spontané du dessin à l’encre qui vient tour à tour prolonger, enrichir et transcender cette métamorphose.